Featuring intense jetlag, and a lot of percussion.

This is basically another TVG techno track, but this time with more stab heavy material, lots of arps, and a massive reverb buildup in the middle. There is also a buzzing bassline to tie it altogether, although it's not following any particular chord progression, as this week it's mainly just a one chord camp (Kinda). Long story short, it has the makings of a techno track right down to the structure and beat, but just in a slightly less conventional way. Enjoy!

If I don’t have to 

I’ll keep to myself and

if i don’t have to 

I’ll hardly exist

if i don’t have to 

you’ll have to remind me

that somewhere out there

theres more than this

slowly slowly softly softly

open the door

and let in the light

slowly slowly softly softly

take a deep breath

and step outside

Before... there was nothing, but now, there is music.

This time, back to NES style :)

i emerge covered in blood

i converge with the mood

i pop out (emerge into the light)

from between your legs (pop on out, and say 'hi')

the consequence

of when you had sex

emergence, across from us

where do we go from here?

where must we, go, from here

there is nowhere

we must we must we must go 

on!

nowhere! there is no chance to escape!

there is no is no nowhere we can escape!

emergance!

Lyrics written with the help of ChatGPT

Sous mes paupières ça grouille, ça pousse, ça cogne,

des milliers de pensées qui s’échappent sans vergogne,

j’empile les silences comme des briques sous la peau,

et pourtant chaque fissure laisse filtrer un écho.

J’ai marché dans le doute, j’ai croisé mes fantômes,

ils me parlent à voix basse, ils m’invitent à l’automne.

Mais l’hiver se décroche, je sens monter le flux,

un orage en réserve, un torrent retenu.

Les murs se craquellent, les certitudes se plient,

dans les interstices je trouve un nouvel abri.

J’écris sur mes cendres, je réchauffe les braises,

chaque mot que j’invente devient arme et caresse.

J’ai peur de me perdre mais je crains plus l’immobile,

alors je brûle mes cartes et j’avance sans profil.

La lumière ne promet ni victoire ni repos,

mais je tends mes deux mains vers l’éclat qui s’impose.

Et si c’était trop tôt,

et si tout se refermait,

et si le sol sous mes pas

ne savait plus m’appeler ?

… pourtant j’entends la faille chanter.

C’est l’émergence,

fragile mais intense,

j’avance sans savoir

où s’ouvre le couloir.

C’est l’émergence,

une promesse en silence,

je ne sais pas demain

mais je sens que c’est loin.

C’est l’émergence.

Chaque pas que je tente redessine la frontière,

je porte mes vertiges comme d’autres leurs prières.

J’apprends à respirer dans des airs inconnus,

à planter mes racines dans un sol imprévu.

C’est l’émergence,

fragile mais intense,

j’avance sans savoir

où s’ouvre le couloir.

C’est l’émergence,

une promesse en silence,

je ne sais pas demain

mais je sens que c’est loin.

C’est l’émergence.

I probably could have made this longer, but I prefer detail over length.

Stonery metalish song i made